Hier, j'ai pas joué au poker.
Je me suis affalé sur mon canapé, j'ai allumé le poste hypnotique et j'ai regardé la première demi-finale de l'euro 2012. Espagne-Portugal. L'affrontement des ibères, olé!
En fait pas très olé-olé le match. Les défenseurs ont plus largement éclipsé les attaquants dans une rencontre âpre, rude. Un match d'homme finalement pas vraiment passionnant.
J'ai lâché l'affaire au début des pénos. Rien à carrer de qui allait gagner des lusitaniens ou des espingouins et j'avais mieux à faire en poursuivant ma lecture de l'excellent "Gagner la guerre" qui m'avait été conseillé par Arcanes.
Pourtant j'avais besoin de jouer des mains pour tenter de sauver mon minable status VIP. De sauver au moins quelque chose dans ce mois qui remugle la pestilence du zombi.
Seulement voilà: j'avais pas envie.
"Qu'on me donne l'envie" écrirait toute-la-musique-que-j-aime-pas. Enfin, chantonnerait vu que ça n'est pas lui qui pond ses textes. Comme ca n'est probablement pas Samir Nasri qui écrit ses twitts.
Le syndrôme avait attaqué la veille où je n'avais joué qu'en MTT. Additionné de quelques SNG à micro buy-in, histoire de spew mon tilt.
Non, hier j'ai pas joué au poker.
Et ça ne m'a pas manqué. Bizarrement.
J'ai une fâcheuse tendance à l'addiction: clope, café, coca, alcool,... Dans l'addiction (comme dans la cochonne), tout est bon.
Et là, rien!
Quedalle, queutchi.
Même pas une petite nausée, même pas une petite bouffée de chaleur, un petite goutte de sueur qui perle du front pour s'échouer sur le calbard.
Même pas les mains qui tremblotent en préparation d'un futur Alzheimer. (bien que je sois plutôt Albundy pour ma part)
Peut être l'Arjel a bien fait son job pour empêcher l'addiction de se jeter avidement sur moi et de dévorer mon âme de pêcheur. (ou de pêché, selon)
Non, hier j'ai pas joué au poker.
Et ca m'a pas frustré.
Je me suis affalé sur mon canapé, j'ai allumé le poste hypnotique et j'ai regardé la première demi-finale de l'euro 2012. Espagne-Portugal. L'affrontement des ibères, olé!
En fait pas très olé-olé le match. Les défenseurs ont plus largement éclipsé les attaquants dans une rencontre âpre, rude. Un match d'homme finalement pas vraiment passionnant.
J'ai lâché l'affaire au début des pénos. Rien à carrer de qui allait gagner des lusitaniens ou des espingouins et j'avais mieux à faire en poursuivant ma lecture de l'excellent "Gagner la guerre" qui m'avait été conseillé par Arcanes.
Pourtant j'avais besoin de jouer des mains pour tenter de sauver mon minable status VIP. De sauver au moins quelque chose dans ce mois qui remugle la pestilence du zombi.
Seulement voilà: j'avais pas envie.
"Qu'on me donne l'envie" écrirait toute-la-musique-que-j-aime-pas. Enfin, chantonnerait vu que ça n'est pas lui qui pond ses textes. Comme ca n'est probablement pas Samir Nasri qui écrit ses twitts.
Le syndrôme avait attaqué la veille où je n'avais joué qu'en MTT. Additionné de quelques SNG à micro buy-in, histoire de spew mon tilt.
Non, hier j'ai pas joué au poker.
Et ça ne m'a pas manqué. Bizarrement.
J'ai une fâcheuse tendance à l'addiction: clope, café, coca, alcool,... Dans l'addiction (comme dans la cochonne), tout est bon.
Et là, rien!
Quedalle, queutchi.
Même pas une petite nausée, même pas une petite bouffée de chaleur, un petite goutte de sueur qui perle du front pour s'échouer sur le calbard.
Même pas les mains qui tremblotent en préparation d'un futur Alzheimer. (bien que je sois plutôt Albundy pour ma part)
Peut être l'Arjel a bien fait son job pour empêcher l'addiction de se jeter avidement sur moi et de dévorer mon âme de pêcheur. (ou de pêché, selon)
Non, hier j'ai pas joué au poker.
Et ca m'a pas frustré.
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