La démocratisation du stacking me laisse perplexe.
Autrefois réservée à une espèce d'élite, aujourd'hui les services ont fleuris pour proposer le stacking de... n'importe qui.
Les services de stacking sont bien sûr des sociétés qui prennent leur obole sur les échanges entre stackés et stackeur. Et comme toute entreprise, l'objectif est de faire un maximum de chiffre et cela passe par un maximum de clients.
Le shéma est assez simple puisque chaque stacké doit faire la promotion de son stacking pour racoler un max de participant et par ce biais fait connaître la boutique à son réseau. Et si l'une des personnes de son réseau est interessée, hop elle doit s'inscrire sur le site.
En bref, ce sont les usagers qui assurent la promotion.
Et comme beaucoup de joueurs de poker rêvent de pouvoir jouer un maximum de tournoi sans débourser un rond, les page facebook vomissent d'appel au stacking lorsque l'on fréquente cette population.
Stackez moi, stackez moi, stackez moi auraient pu chanter les rigolos de billy ze kick s'ils avaient versé dans le vice du jeu d'argent au lieu de la défonce.
Le système va probablement trouver son équilibre quand les stackés participeront au stacking des autres. Quand tout le monde stacke tout le monde et est stacké par tout le monde.
Enfin équilibre, pas tout à fait, c'est sans compter la gabelle de l'entreprise qui organise les échanges.
Une sorte de fond commun.
C'est ça la démocratisation du stacking, le communisme des joueurs de poker pondéré par le capitalisme des business-men qui chapotent.
Notez que je ne suis pas contre le stacking. J'ai participé à quelques stacking d'amis qui avaient du potentiel (ou pas ^^) et sur des évènements très ponctuels.
Mais cela restait du "petit stacking entre amis".
Loin d'une espèce de système industriel qui finalement pourrait finir par ressembler à une succursale de la française des jeux. X % des mises sont redistribuées!
Je sais que je ne vais pas me faire des copains encore une fois.
Tant qu'il m'en reste 2/3 pour... me stacker.
Autrefois réservée à une espèce d'élite, aujourd'hui les services ont fleuris pour proposer le stacking de... n'importe qui.
Les services de stacking sont bien sûr des sociétés qui prennent leur obole sur les échanges entre stackés et stackeur. Et comme toute entreprise, l'objectif est de faire un maximum de chiffre et cela passe par un maximum de clients.
Le shéma est assez simple puisque chaque stacké doit faire la promotion de son stacking pour racoler un max de participant et par ce biais fait connaître la boutique à son réseau. Et si l'une des personnes de son réseau est interessée, hop elle doit s'inscrire sur le site.
En bref, ce sont les usagers qui assurent la promotion.
Et comme beaucoup de joueurs de poker rêvent de pouvoir jouer un maximum de tournoi sans débourser un rond, les page facebook vomissent d'appel au stacking lorsque l'on fréquente cette population.
Stackez moi, stackez moi, stackez moi auraient pu chanter les rigolos de billy ze kick s'ils avaient versé dans le vice du jeu d'argent au lieu de la défonce.
Le système va probablement trouver son équilibre quand les stackés participeront au stacking des autres. Quand tout le monde stacke tout le monde et est stacké par tout le monde.
Enfin équilibre, pas tout à fait, c'est sans compter la gabelle de l'entreprise qui organise les échanges.
Une sorte de fond commun.
C'est ça la démocratisation du stacking, le communisme des joueurs de poker pondéré par le capitalisme des business-men qui chapotent.
Notez que je ne suis pas contre le stacking. J'ai participé à quelques stacking d'amis qui avaient du potentiel (ou pas ^^) et sur des évènements très ponctuels.
Mais cela restait du "petit stacking entre amis".
Loin d'une espèce de système industriel qui finalement pourrait finir par ressembler à une succursale de la française des jeux. X % des mises sont redistribuées!
Je sais que je ne vais pas me faire des copains encore une fois.
Tant qu'il m'en reste 2/3 pour... me stacker.
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